Chers compatriotes,

Le 17 avril 2025, à 15 heures, vous êtes invités à la rencontre ” Le défi de raconter en albanais versus la loi des grands nombres” , avec la poète, essayiste et conteuse Ajkuna Dakli, ainsi qu’avec le romancier, poète et journaliste Taip Sulko, tous deux venus respectivement de Toronto et d’Ottawa pour le Festival du livre albanais à Montréal.

L’événement aura lieu dans les locaux du Festival, à l’adresse suivante: John Abbot College, 21275 Lakeshore Road, Ste Anne de Bellevue, Qc, H9X3L9.

Ajkuna Dakli

Née à Elbasan en 1969, diplômée en Mathématiques à l’Université de Tirana et plus tard en Gestion à l’Université de Toronto, celle-ci étant la ville où elle vit et travaille depuis 2001. Son talent remarquable en prose courte et en essais a trouvé écho dans les pages les plus connues albanaises, telles que Gazeta Exlibris, Peisazhe te fjales, Poeteka dhe Defekt-teknik. Sa première publication est le recueil poétique “Syllabes” (Rrokje) (Botart, 2016) Elle est auteure de deux recueils en prose courte, des livres qui ont bien attiré l’attention du lecteur et de la critique littéraire: ” Bottes de cuir en temps de guerre” (2023) et ” Portraits sans cadre”(2023), publiés par la prestigieuse Maison d’édition Onufri.

Ajkuna croit que les mathématiques et la littérature sont des formes suprêmes de l’expression de l’intelligence et de la sensibilité humaine, raison pour laquelle elle partage sa vie entre ces deux mondes.

Taip Sulko

Écrivain, poète et journaliste. Diplômé en Langues et lettres à l’Université de Tirana (1982), il a poursuivi ses études postuniversitaires en journalisme (1983-1984) et il détient également une maîtrise en Diplomatie et relations internationales de l’Université Économique de Budapest (1994-1997). Parmi les livres dont il est l’auteur, on peut mentionner ” De l’autre côté du paradis”, roman (Fan Noli, 2002), ” L’Antologie des âmes”, contes (Plejad, 2009), ” La terre promise”, poésies (Plejad, 2010), ” Les portes du ciel”, poésies (Naimi, 2020),  ” Le fugitif”, roman ( Naimi, 2024) , dont la plupart a été bien appréciée par la critique.

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